Savez-vous que vous pouvez conditionner votre mental pour faire exactement ce que vous voulez, aller dans n’importe quelle direction où vous désirez aller, réaliser n’importe quel objectif ou rêve que vous vous fixez.
La plupart des gens se fixent constamment des barrières, sont négatifs et vous diront ce n’est pas possible. Dites-vous bien que ces personnes-là n’atteindront jamais leurs objectifs car elles se fixent ellex-mêmes des barrières mentales.
En effet, il existe un schéma normal auquel pourrait s’identifier une vie avec des perturbations constantes. La personne avancera dans un « Ca va ! Ça ne va pas ! » et vivra sa vie. Elle n’aura pas forcément de rêves, d’objectifs. Elle n’apprendra pas ce qui lui permettra de réaliser tout ce dont elle aspire.
Le succès, rappelons-le, est un concept personnel. Chacun possède sa propre définition du succès. Vous avez la vôtre, votre voisin, votre frère ont les leurs. Des définitions aussi différentes que les autres. Il ne faut pas associer forcément le mot succès au mot argent, comme c’est souvent le cas chez presque tout le monde. Pour certains, le succès c’est peut-être bien l’argent ; pour d’autres, c’est être en plein cœur de l’Atlas, dans une bergerie avec plein de moutons.
Il faudra, donc, choisir. Voudriez-vous conditionner votre mental sur le succès ou bien sur l’échec ?
Si c’est le deuxième conditionnement que vous avez choisi, vous vivrez une vie linéaire où il n y a peut-être pas de soucis particuliers. Cependant, et à la fin de votre vie, à l’âge de 80 ans, vous aurez un éclair, une étincelle et vous vous diriez : « Zut ! J’avais envie de me rendre à cet endroit, j’avais envie de créer cette entreprise, j’avais envie de rencontrer cette personne, j’avais envie de faire énormément de choses dans ma vie… Mais là c’est trop tard ! ».
Nombreuses sont les personnes qui disent « moi, j’attends ma retraite pour faire ceci ou cela ». Mais, pensez-vous que c’est la bonne solution d’attendre la retraite pour vivre ? Il est vrai que le fait de laisser sa vie défiler et la suivre dans son défilement ne demande pas beaucoup d’efforts. C’est une zone de confort pour la personne conditionnée à l’échec.
Observons ensemble certains exemples : admettons qu’une personne conditionnée à l’échec veuille faire un voyage au Pérou. Elle raisonnera suivant le modèle suivant : « Le Pérou c’est de l’inconnu !« . Elle va sortir de sa zone de confort en y allant. Elle décidera, donc, de ne pas s’y rendre.
Vous avez, par exemple, envie de changer de métier. Votre métier actuel ne vous convient plus et vous connaissez un métier qui vous stimule nettement mieux. Cependant, ce métier est de l’inconnu pour vous. Vos décidez, donc, de ne pas y aller !
Vous avez envie d’aborder une jolie jeune fille ou un beau jeune homme que vous remarquez dans la rue mais comme c’est un(e) inconnu(e), vous n’y allez pas.
C’est tellement facile !
Pire encore, une personne conditionnée à l’échec fera en sorte de se faire entourer de losers qui essaieront davantage de la démolir.
Donnons l’exemple d’une personne qui voudrait lancer une entreprise et a envie de rejoindre le club des « entrepreneurs déprimés », des personnes qui ont essayé de faire quelque chose et qui ont abandonné. Elle passera le maximum du temps avec ces personnes-là. Elles passeront toutes leurs journées à manger et à fumer. Sans le savoir peut-être, elle est en train de se conditionner à l’échec.
Autre moyen qui permet de s’auto-conditionner à l’échec, c’est celui d’accorder beaucoup d’importance aux gens et à leurs avis. Au regard des autres. Demander sans cesse ce que les autres pensent de vous. Cela vous ne permettra jamais de faire ce que vous voudriez faire.
Être négatif, critiquer tout le temps, être colérique, abandonner vite à l’apparition de la première difficulté représentent, également, d’excellents moyens pour s’auto-conditionner à l’échec.
Prenons le cas d’une personne qui avait décidé de faire du sport et qui, à partir de la première séance, s’est rendue compte que c’est très dur ! Et elle a vite abandonné.
N’oublions pas que tous les leaders et les challengers que l’on connait aujourd’hui ont vécu des situations difficiles voire mêmes semées d’échecs. Aujourd’hui, nous les connaissons à travers leurs réussites et non à travers leurs échecs. Leurs plus grandes valeurs ajoutées, c’est qu’elles n’ont jamais abandonné.
Restez concentrés sur votre objectif et ne le lâchez qu’une fois voir atteint les paramètres que vous visez. Et dites-vous bien que le succès, vous le méritez. Tout le monde le mérite !
Vous avez le choix de vous conditionner à l’échec ou au succès. Posez-vous la question : où voulez-vous vous trouver ? Votre cerveau est pareil à tous les muscles de votre corps que vous entraînez avec des exercices afin de mieux les développer pour qu’ils puissent tolérer plus de charges. Vous pouvez faire pareil avec votre cerveau !
Si vous ne faites pas travailler votre cerveau, il s’atrophie. Par contre, si vous le faites travailler tous les jours, il prendra de l’ampleur. Il vous permettra, à ce moment, de faire plus et de réaliser davantage.
Et en guise de conclusion, rappelez-vous ce qu’avait dit Churchill: « Le succès c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme ! ».